Le discours de Vladimir Poutine, le 9 mai, a été sans surprise.
Le nationalisme russe s’est conforté dans son obsession à considérer le monde occidental et l’Ukraine comme les héritiers du nazisme.Un discours qui rencontre encore un vif écho dans la société russe et permet de justifier une guerre d’agression.Au micro de Michel Brunelli: Claude Moniquet, expert en géopolitique.
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